Electron libre

 

Il faut bien commencer à entrevoir la fin

de ces ventres trop pleins, qui narguent les sans-dents

Tuer la descendance des roitelets mondains

Dont nous sommes sous le joug, a demi inconscients

En ce siècle apathique, l’hémicycle restreint

Les mystères n’en sont plus quand on ne jure de rien

La plèbe ne veut plus, mais elle ne sait plus bien

Elle voudrait le dessus, sans se salir les mains…

Si l’union fait la force, abrégeons cette farce

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